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Conquête de l’Espace : Des « autoroutes interplanétaires » pour voyager aux confins de notre système ?

Depuis la nuit des temps, le regard de l’Homme est rivé vers les étoiles, des mythologies aux sciences, l’humanité a rêvé et imaginé les cieux jusqu’à l’exploration spatiale qui domine les ambitions des génies les plus développés au monde.

Doté de technologies encore jamais utilisé dans les cieux, Perseverance a foulé le sol martien et devrait, d’ici quelque mois, essayer de déployer le premier engin volant automatique encore jamais réalisé à ce jour sur une autre planète que la Terre. Un pas sans précédent une fois de plus a portée de l’Homme et de son incroyable capacité à défier l’impossible. Au travers d’un océan d’étoiles, les espoirs de milliards d’individus résident dans les avancées scientifiques qui, jour après jour, franchissent des capes invraisemblables.

De nombreuses théories ont permis ces accomplissements, à l’image d’Einstein et son équation qui a, a jamais, changé le monde. De l’invention du GPS aux télévisions au tube cathodiques en passant par l’électromagnétisme, une simple pensée à orienter, un siècle durant, les plus grands esprits scientifique de notre époque. Dans ce même contexte, des chercheurs ont récemment mis en évidence des « autoroutes célestes« .

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Si l’on sait que les astres tels que les comètes et les météorites utilisent déjà ces courants, des véhicules pourraient également, un jour, en profiter de la même manière. Ces courants de gravités pourraient alors permettre à l’Homme de se déplacer plus rapidement et sans usage de carburant aux confins des étoiles.

« À notre échelle, se déplacer le long de tels courants prendrait beaucoup de temps. À l’échelle astronomique en revanche, ces courants sont rapides » précise Emmanuel Trélat, mathématicien et directeur du laboratoire Jacques-Louis Lions (Paris Sorbonne/CNRS).

Ces courants ne sont pas à confondre avec  les « rebonds gravitationnels » dont on connaissait déjà bien l’existence à l’image des sondes Voyager 1 et 2 qui en ont bénéficié dès 1977.

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« Les courants de gravité sont des effets gravitationnels beaucoup plus cachés, qui résultent de l’existence des points de Lagrange ; ils sont invisibles, sauf à les deviner grâce à des théorèmes mathématiques sophistiqués » poursuit le chercheur.

L’existence de ces phénomènes ont déjà été admis en 1970 (année ou Stephen Hawking à émis la théorie du « Rayonnement d’Hawking », sur les trous noir), des chercheurs de l’Université de Californie et de l’Observatoire astronomique de Belgrade ont démontré avoir trouvé les effets d’un réseau d’autoroute interplanétaire, jusque là encore inconnu, dans notre système solaire.

Les nouvelles découvertes démontrent que des objets célestes peuvent être « rapidement » déviés de leur trajectoire initiale, partant de constat, un schémas de ces autoroutes de l’espace a pu être établi à l’aide de calculs mathématiques élaborés permettant de définir ce que nous sommes encore incapable de percevoir avec nos technologies actuelles. Ces autoroutes se dessinent en une série d’arcs liés entre eux dans des « variétés spatiales », formant une structure gigantesque allant de la ceinture principale d’astéroïdes (entre les orbites de Mars et Jupiter) jusqu’à Uranus et bien au-delà.

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A l’aide des courants de gravité, les sondes spatiales pourraient être manœuvrées pour parcourir de plus longues distances tout en dépensant moins d’énergie. Par exemple, une fois sorti de l’atmosphère terrestre, les courants de gravités existants naturellement entre la planète Terre et notre Satellite Lunaire, il nous est permis d’atteindre nos satellites sans aucune consommation de carburant.

« En vue de futures missions humaines vers Mars, on voudrait d’abord retourner sur la Lune ; et construire, au pôle nord de la Lune notamment, une base lunaire qui pourrait servir de point intermédiaire – et de centre de communication » explique le chercheur. La construction d’une telle base nécessiterait d’envoyer énormément de matériel vers la Lune :  « Cela peut se faire sans l’aide humaine, juste avec des robots On appelle cela des « missions cargo ». Dès lors, peu importe la durée du trajet ! » ajoute-il.

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