Après deux infâmes opus sortis en 2018 et en 2021, la franchise Venom compte bien se poursuivre. Même si le Sony Universe de Spider-Man repose désormais sur des racines brinquebalantes et tristes (on pense notamment à l’incohérence immonde des scènes post-générique de Morbius), Venom aura bien droit à une troisième itération de sa franchise. Si Venom : Let There Be Carnage avait déjà touché le fond, entre son traitement loupé de Cletus Casady et son Symbiote Rouge, un Venom défenseur des libertés individuelles en pleine boîte de nuit et une bromance entre le monstre et Eddie Brock, le saccage du matériel source avait été important. Seulement, le succès au box-office a, encore une fois, été au rendez-vous avec 502 millions de dollars de recettes internationales.
Pour le moment, les personnes investies sur le projet sont encore gardées sous clef même si Andy Serkis veut bien revenir à la réalisation après avoir été aux commandes du deuxième. En revanche, le scénario est déjà écrit et vient de fuiter sur les réseaux sociaux. C’est le journal Variety qui rapporte les éléments principaux constatés dans le script et le moins que l’on puisse dire, c’est que la franchise compte aller toujours plus loin dans la médiocrité.
Les Insiders ayant eu accès au scénario révèle que Morbius et Venom se combattront sur un ring de boxe et finiront par s’allier pour combattre le Spider-Man incarné par Andrew Garfield (franchise de Marc Webb). Une autre scène révèle un mariage entre Eddie Brock et Venom auquel assisterait plusieurs protagonistes importants qui seraient introduit dans le Sony Universe : Kraven (Aaron Taylor-Johnson), un nouveau Mysterio (incarné par John Krasinski), la femme d’Eddie, Morbius (Jared Leto), Le Vautour (Michael Keaton) et le Rhino (incarné par Gérard Depardieu). La fin du film verrait Venom tuer le Spider-Man d’Andrew Garfield. En guise de scène post-générique, un sort foireux du Docteur Strange redonnerait vie au tisseur qui finirait dans le MCU.
Des éléments farfelus qui prouvent bien que l’univers Sony par complètement en vrille. Il est grand temps pour la firme d’en finir avec ces ratés, d’autant que Morbius capitalise beaucoup moins de critiques positives que Venom (et pourtant il fallait le faire).