La franchise Spider-Man de Sam Raimi fut considérée, pour beaucoup, comme la meilleure saga ciné de l’homme araignée et l’une des plus réussies franchise de super-héros de l’histoire. Les fans soulignent le développement juste et fin de Peter Parker qui bénéficie d’un vrai travail sur sa psyché tout au long des différents opus, où les histoires et événements qu’il vit se construisent autour de lui sans apparaître comme un simple cahier des charges chargé d’introduire quelque chose de plus grand que sa simple personne. Les Spider-Man de Sam Raimi sont probablement les films qui pensaient le moins à l’après et qui se chargeaient de livrer de véritables stand-alone movies solides et indépendant.
La franchise The Amazing Spider-Man avait directement amorcé, dès son deuxième film en 2014, une commencement des Sinisters Six tandis que la trilogie de Jon Watts pour le MCU avait sans cesse un double objectif : poursuivre l’histoire de Peter Parker en faisant avancer le MCU.
C’est la saga de Sam Raimi qui sera réputé pour avoir les meilleurs personnages secondaires de tous les Spider-Man réunis. Que ce soit Harry Osborn (James Franco), Mary Jane (Kirsten Dunst) jusqu’à J.Jonah Jameson, ils auront tous eu suffisamment de temps d’écran pour briller. J.J. Jameson est notamment connu pour avoir été le bouillonnant directeur du Daily Bugle, un quotidien d’information de New York qui ne cesse de critiquer les super-héros de l’univers Marvel, et notamment Spider-Man, que Jameson accuse d’être un usurpateur. Jameson n’hésitait d’ailleurs pas à utiliser son journal pour propager son point de vue, notamment avec des éditos très critique à l’encontre des super-héros. La version MCU de Jameson est un bloggueur web diffusant des vidéos en freelance. Si le personnage est apprécié des fans, c’est qu’il balance des punchlines toujours savoureuses, morceaux choisis :
7 – Jameson est un tyran
- Monsieur Jameson, on a un problème avec la page 6.
- Nous, on a un problème avec la page 1, la ferme !
Un éditorialiste qui n’aime pas trop qu’on l’embête avec des trucs un peu nuls. Un dialogue qui démontre bien l’importance du personnage pour des éditos ronflants contre les super-héros en collants. Plus c’est gros plus c’est cool.
6 – Jameson est une pince
- Elle [sa femme] aimerait savoir si vous voulez du chine ou du velours dans la salle à manger
- M’en fous mets le moins cher !
Un éditorialiste qui compte ses sous, c’est la crise au Daily Bugle ?
5 – Jameson est un Paparazzi misogyne
- Si on peut trouver des photos de Julia Roberts en string on peut bien trouver des photos de ce rigolo ! [Spider-Man]
En plus de pas être très tendre envers la gente féminine (dont sa femme), Jonah Jameson est prêt à tout pour l’éditorial le plus aguicheur, la preuve.
4 – Décidément, la déco intérieur est une grande affaire chez les Jameson
- Monsieur, votre femme dit que le carrelage que vous vouliez dans l’entrée n’est plus en stock.
- Dites lui qu’on mettra un tapis !
Comment résoudre un conflit conjugal selon Jonah Jameson.
3 – Il est difficile d’avoir sa confiance
- L’ennui c’est que vous ne faites confiance en personne.
- Si, à mon barbier.
2 – Il n’aime pas les belles choses
Sa réaction face aux photos de Peter Parker quand elles ne concernent pas Spider-Man :
- Enlevez ce joli portfolio avant que l’overdose de guimauve me plonge dans un coma diabétique !
1 – Il est consciencieux dans les préparatifs du mariage de son fils
- Chéri on organise un mariage, pas un dépôt de bilan. Du caviar ? Pourquoi on invite le tsar ? Prends du fromage, des crackers un assortiment d’apériboules et…
